À Vannes, ce mardi matin, au deuxième jour du procès de Daniel M’Bey, cardiologue Pontivyen accusé de viol et agressions sexuelles, la cour d’assises du Morbihan a entendu la jeune femme à l’origine de la première plainte. Sa vie a été dévastée.
Un ancien cardiologue Pontivyen, accusé d’un viol et de deux agressions sexuelles, comparaît toute la semaine devant les assises du Morbihan, à Vannes. Daniel M’Bey nie, et s’enlise. Illustration avec un interrogatoire, survenu ce lundi après-midi.
Que faire en cas de blocage successoral ? Rappelons qu’en vertu de l’article 815 du Code civil : « Nul ne peut être contraint à demeurer dans l’indivision et le partage peut toujours être provoqué, à moins qu’il n’y ait été sursis par jugement ou convention. »
La faculté de rétractation apparaît véritablement comme la pièce maîtresse du dispositif de protection institué d’abord par la loi sur le démarchage puis par les dispositions sur la vente à distance.
Les clients d’une société vannetaise posant des panneaux solaires ont continué de rembourser des prêts, alors que cette entreprise avait été liquidée et que les travaux n’avaient pas tous été réalisés. Ce lundi, les deux gérants devaient répondre d’escroquerie devant le tribunal.
Attention à la nature des dommages et intérêts réclamés en cas de divorce pour faute ! « vu les articles 266 et 1240 du Code civil : (…) les dommages-intérêts prévus par le premier de ces textes réparent le préjudice causé par la rupture du lien conjugal, tandis que ceux prévus par le second indemnisent celui résultant de...
Par un récent arrêt du 18 mai 2022 la Cour de cassation a rappelé une position bien établie concernant le droit des contrats : la mise en demeure émanant du créancier n’interrompt pas la prescription, quelle qu’en soit la forme.
La Cour de cassation l’a dernièrement rappelé : les créances qu'un époux séparé de biens peut faire valoir contre l'autre et dont le règlement ne constitue pas une opération de partage se prescrivent par cinq ans.
Le décret n° 2021-1820 du 24 décembre 2021, entré en vigueur le 1er février 2022, met en place des mesures de surveillance à l’égard des personnes non incarcérées, auteurs de violences conjugales et intra-familiales, pour renforcer la protection des victimes de ces violences.
Depuis de nombreuses années, le législateur tente de lutter contre les impayés de la pension alimentaire, et particulièrement celle versée au titre de la contribution à l’entretien de l’enfant.